COVIS-19 les leçons de la crise

covid-19

La crise covid-19 a été un événement crucial pour la compréhension du monde médical et des tensions qu’elles abritaient en son sein jusqu’à ce jour.

Dans la droite ligne de notre règle rédactionnelle de ce blog il n’est nullement question de critiquer des institutions ni des personnes. Si responsable il y a, c’est d’abord nous-même. On ne peut pas exiger de la transparence, une minimisation de risque, un juste partage des moyens, des compensations, etc. sans être un acteur. Le seul fait de comprendre et recouper des infos en soi augmentent la conscientisation globale et l’élimination des abus et scandales, mais ils ne vont surement pas disparaître d’eux-mêmes.

Vaccins. Le système immunitaire s’affaiblie avec le temps. Le réserver aux personnes âgées c’est leur faire prendre des risques dans une évaluation risque/bénéfice qui devrait être supérieur à 1/°° (1 pour mille de mortalité).

Les risques d’un vaccin sont généralement connus 7 à 8 ans minimum après.

Vaccin moderna. Basé sur l’ARN messager. Un vaccin est un projet à long terme. On plonge dans l’inconnu et ses effets imprévisibles, non seulement pour cette génération mais pour les générations 2,3,4 voire5. Normalement, les vaccins sont surveillés de longues années avant des tests sur les humains. ici on coupe franchement dans les virages.

Doit-on vacciner avec un taux de mortalité de 0,05%, un fait sans précédent dans l’histoire des vaccins. L’expérience montre que le vaccin marche assez bien pour les jeunes et beaucoup moins chez les personnes âgées.

Pour les vaccins proposés, toujours pas de résultats des labos à quelques jours des premières vaccinations fin décembre 2020. On peut avoir des effets qui apparaissent sur 30 millions et qui n’apparaissant pas avec 30.000 patients vaccinés dans l’étude des labos.

A ce jour on ne sait pas qui sera responsable des effets secondaires. Si le vaccin est obligatoire, c’est l’état qui prendra tout en charge.

Politique de vaccination. On privilégie de vacciner ceux qui ont subir les effets secondaires, pour les formes sévères, les personnes âgées.

Si on n’a pas réussi à produire un vaccin contre le paludisme et le VIH depuis des décennies, c’est que probablement, cela ne pourra aboutir. Il est difficile de trouver un vaccin quand il mute assez rapidement. Les vaccins comme la rougeole ne s’attrapent qu’une seule fois. Quand on attrape plusieurs fois la grippe, c’est que le système immunitaire ne pourra pas protéger au fur et à mesure des évolutions des virus.

Le vaccin protègerai probablement des effets (pour les réduire) mais n’a pas de conséquence sur l’infection de la personne vaccinée sur un individu sain.

Si on prend le cas de poliomyélite, on constate dans le monde, qu’il y a plus de poliomyélites vaccinales que de poliomyélites. Cherchez l’erreur

Les eaux usées permettent de prévoir à 2 ou 3 jours l’évolution de la courbes des infections.

La détection doit être adaptée à la région, la ville. Les décisions basées sur la décentralisation seront plus pertinentes. Certains virus sont locaux et d’autres continentaux. Il est donc impossible de faire de la prévision à l’échelle d’un état. De plus ce virus a des possibilités de combinaisons très grandes qui réduisent les prédictibilité de la propagation.

les vaccins proposés

Vaccin chinois. C’est un classique, ils prennent le virus qu’ils inactivent puis qu’ils inoculent pour développer une immunité.

Adénovirus. Le coronavirus est mis dans un adénovirus issu du singe pour éviter qu’il ne soit rejeté par le corps. On a beaucoup d’incertitudes sur la tolérance de ces vaccins.

Les vaccins de thérapie génique ARN. On y trouve les nouveaux vaccins de Moderna et Pfizer. Ce sont de véritable produits de thérapie génique à ARN. Ils inoculent un ARN messager qui va forcer les cellules du corps à coder pour ces morceaux de coronavirus. Si la cellule produit une trop de grande quantité de particules virales, cela peut avoir des effets catastrophiques, c-à-d des modification des chromosomes et des gènes avec le risque majeur de transmettre ces anomalies aux enfants. Cette technique n’a été faite à ce jour que sur des légumes, même pas sur des animaux. L’homme sera le premier cobaye à subir ce type de technique. Pour l’instant, les résultats sont basés sur un prélèvement des anticorps 1 mois après la 1ère injection. Il reste à montrer que la protection dure. C-à-d que les personnes vaccinées garderont une protection même sur une exposition au virus 6 mois, 1 an après. C’est justement dans la phase 3 des tests de vaccination, directement sur les humains qui va être réalisé pour population de plusieurs dizaines de milliers de personnes. Pour l’instant il faut oublier le magic bullet d’un labo. Cela fait perdre du temps au détriment des patients atteints du covid-19.

Le traitement basé sur le diagnostique systématique de tous les patients permet une prise en charge et un traitement plus efficace que le vaccin à bénéfice hypothétique. Les études complètes ne sont pas à ce jour publiées, partagées, discutées aussi bien par le corps médical que par la population. Cela amène certains à penser que le rapport risque/bénéfice est plus favorable à ce jour au traitement qu’au vaccin.

Confinement. Sans test covid-19, c’est mettre en danger les personnes saines. Tester systématiquement, c’est isoler les personnes atteintes et éviter le confinement.

Institutions. On est éberlué par le nombre d’entités médicales :

  • Direction générale de la santé
  • Ministère de la santé
  • Agence Nationale de Sécurité du Médicament
  • Agence régional de santé
  • Haute autorité
  • Conseil de l’ordre des médecins
  • Institut de veille sanitaire
  • Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM)
  • Fondations (ex: Fondation Méditerranée Infection)
  • Agence de la biomédecine
  • Institut pasteur (compagnie complètement privée)
  • La direction générale de l’offre de soins
  • L’Inspection générale des affaires sociales
  • Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux
  • L’assurance maladie
  • L’institut de veille sanitaire
  • Comité national de la sécurité sanitaire 
  • L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé
  • Conseil stratégique de l’innovation en santé 
  • comité de suivi stratégique
  • Comité interministériel pour la Santé

Science médicale. On l’a bien compris il n’y a ni science ni médical, explications:

  • Pas de science. Demandez l’avis de 10 médecins vous aurez 12 explications et 15 avis différents. Les conflits d’intérêt nous éclairent sur les pratiques indignes de ce corps. Les méthodes d’analyse et de recherche divergent. Les revues médicales prestigieuses (Lancet, New England Journal of Medicine, etc.) sont basées sur le business model du financement des publications et le système de relecture par des pairs. Difficile de sortir des clou our de remettre en cause une publication, hormis un scandale. La science agit sur le plan stratégique et opérative.
    • Stratégique permettant de laisser la recherche opérer
    • Opérative. Faciliter les aller-retour entre le niveau stratégique et tactique. Typiquement la gestion de crise dans le suivi des opérations qui courent entre 1 jours et plusieurs mois
    • Tactique. Le niveau de traitement dans le ici-et-maintenant
  • Pas de médical. Les laborieux et courageux médecins généralistes qui s’interrogent sur la pertinence d’un traitement ou d’un vaccin sont écrasés par l’institution. Ils sont à l’avant-garde pour apporter un traitement à leur patient dans une relation de confiance. Ce qui n’empêche pas l’analyse critique du patient. Consulter un médecin, ce n’est surement pas déplacer sa carcasse et demander une révision générale, vidange, graissage et le pare-brise. Si on ne donne pas de moyens à ces médecins, comment peuvent-ils soigner selon leur engagement. Face à un patient le médecin utilise les moyens dits tactiques, c-à-d dans l’urgence, le ici et maintenant. Hors des résultats de recherche. On ne refait l’histoire médicale en 1 heure. La salle d’attente est pleine et vaut mieux savoir ce qu’on vient chercher/trouver. Lorsqu’il ne sait pas, le médecin de famille applique la stratégie de Tom. Tom est le fils du médecin. Il applique la meilleure thérapie, comme si le patient était son propre fils Tom. Les spécialistes des plateaux TV ont beau s’évertuer à préconiser un traitement ou un médicament, seul leur choix final importe et il sera révélateur d’éventuels mensonges et hypocrisie.

Mesurer l’ambiance entre les médecins

Après avoir suivi les recommandations de l’Agence Régionale de Santé, comme un petit soldat : prescription de Doliprane et confinement à domicile, le Dr Erbstein constate une forte mortalité. Lui et d’autres médecins ont renommé ce traitement: 4D :

  • Doliprane
  • Domicile
  • Dodo
  • Décès

Il a alors prescrit de l’azithromycine, les symptômes ont disparu et les patients sont devenus moins fragiles. Ce qui a déclenché de la part de ses confrères une forte réaction et ainsi « J’ai été traité de charlatan pour avoir prescrit l’azithromycine! » sur les réseaux sociaux.

Entre temps, il se fait convoqué par l’ANSM et l’ordre des médecins pour s’expliquer. Il s’en sort bien. Les temps sont durs.

Le virus. QUI RESTE A DEMONTRER. Le virus porte un co-facteur infectieux, une petite bactérie intra-cellulaire qui favoriserait la réplication mais aussi qui réplique ses effets immunosuppresseur. La sensibilité à l’antibiotique Azithromycine à grand spectre d’action. Cet antiniothique serait important pour diminuer les effets du coronavirus.

Le coronasvirus possède des séquences de nucléotide qui codent pour des protéines

NB : un nucléotide est une molécule organique qui est composé d’une base nucléique (ou base azotée), d’un ose à cinq atomes de carbone, dit pentose, dont l’association forme un nucléotide, et enfin de un à trois groupes phosphate

SYSTEME IMMUNITAIRE

L’enjeu est le renforcement du système immunitaire. Cela passe par l’hygiène de vie: méditation, relaxation, acupuncture, nutrition, sports, etc.

Les laboratoires pharmaceutiques en sont conscientes et parient sur cette approche. Cependant, nous pouvons agir nous mêmes et prendre soin de notre corps pour passer de la dégénérescence (porte ouvertes aux infections) à la régénérescence en agissant sur notre environnement, le principe de l’homéostasie

La liberté d’expression

On a eu droit à un défilé d’experts qui ne soignent aucun malade, des va-et-viens sans cohérence entre la recherche en cours et le traitement au quotidien des malades. Les donneurs de leçon sur plateau TV et radio se trouvant être des médecins sans … malades. Et à la fin, quand ils sont malades accourent chez le professeur Didier Raoult.

Bref, la liberté d’expression en a pris un sacré coup: conspirationnistes , fake news, éléments de langages martelés, le tout contrebalancé par des interviews sur les chaines d’infos et débat sur Internet. Là aussi des précautions à prendre dans les mots choisis pour ne pas se faire scensuré par les moteurs des réseaux sociaux (analyse de la voix, speech-to-text et algorithmes basés sur l’IA)