RITALIN : DROGUER OU AIDER LES ENFANTS EN SOUFFRANCE ?
Date: 17 fév 2016
Auteur : Regenere
L’hyper-activité chez les enfants est due à un défaut de vascularisation du cerveau, un défaut d’apport de sang réduisant mécaniquement l’apport d’oxygène.
La dépression comme l’hyper-activité, sur le plan physiologique, se traduisent par un ralentissement du fonctionnement du cerveau.
Dans le cas de la dépression, il y a peu d’énergie nerveux disponible et dans le cas de l’hyper-excitation, il y a beaucoup d’énergie nerveuse.
Les enfants à qui on prescrit des psychotropes, subissent une double peine:
- ils souffrent physiquement
- on leur administre des amphétamines. Même si cela normalise leur comportement, socialement parlant : les amphétamines forcent l’arrivée de sang au niveau du cerveau, tout en les rendant plus calmes. Cependant, au niveau cognitif, les enfants présentent un comportement de drogué.
CAUSES
Les principales causes :
– une fatigue chronique (voire un épuisement chronique) non traitée ou ignorée volontairement
– une allergie alimentaire. Le gluten du blé provoque la production de protéines qui vont passer dans la circulation sanguine induisant un défaut de vascularisation au niveau du cerveau. La peptide (opioïde), protéine issue du lait, conduit à la même réaction.
CONCLUSION & RECOMMANDATION
L’alimentation, la fatigue et l’épuisement sont les causes premières de cet état. En s’attaquant à ces causes, 90 à 95 % des cas seront résolus.
HYPERACTIVITÉ , TROUBLES DE L’ATTENTION, ARRÊTONS LE CARNAGE
Date: 6 fév 2015
Source: Vidéo de Regenere
Titre : symptômes du THADA. Impulsivité, hyperactivité, incapacité à maintenir son attention
« Trouble du comportement chez les enfants. Troubles de l’apprentissage. Défaut d’attention. Comportements excessifs et violents »
MECANISMES
Le système nerveux et le système endocrinien fonctionnent de manière conjointe.
Le système nerveux produit des neurotransmetteurs. Les glandes produisent des hormones qui agiront à distance dans l’organisme.
Le premier produit des effets très rapidement, le second assez lent, à la vitesse de propagation dans le sang.
Chez les enfants en hyperactivité, le traitement est basé sur des inhibiteurs de la re-capture de la dopamine et de la l’adrénaline.
La conduction d’un message nerveux entre deux neurones nécessite des neurotransmetteurs sont nécessaires au niveau de la synapse.
Il y a des dizaines de neurotransmetteurs dans le corps. Mais globalement, on en isole six majoritaires : dopamine, adrénaline, noradrénaline, sérotonine, acétylcholine, gaba
La recapture de la noradrénaline ou de la dopamine permet l’optimisation de leur usage par le corps. Ils s’épuisent rapidement et se reproduisent et sont capturés puis transformés.
TRAITEMENT ACTUEL
Les inhibiteurs font en sorte que les neurotransmetteurs soient disponibles plus longtemps. On parle de déficit de présence de dopamine et de noradrénaline. La noradrénaline est un neurotransmetteur qui intervient sur les processus d’apprentissage, de socialisation et régule l’apport d’information au cerveau pour éviter qu’elles n’arrivent brutalement tout en saturant le cerveau.
MECANISME
Chez les enfants hyperactifs, il y a un déficit de noradrénaline produites par les glandes surrénales. Cela dénote un épuisement. Nous avons alors des enfants fatigués chroniquement de naissance. en baignant dans un environnement très hostile: pollutions chimiques liés à l’environnement, pollution liés aux additifs alimentaires, pollution générée par les ondes électromagnétiques.
Là où une personne détecte un ou deux sons dans une pièce, sur laquelle elle se concentre, les enfants sont assaillis par des milliers d’information qu’ils ne savent pas traiter. Ils sont en état de panique permanente. Cette situation est souvent aggravée par le manque de production d’autres hormones : sérotonine, dopamine, etc.
Les glandes émettrices de ces hormones sont abimés ou usées. A cela s’ajoute l’absence de matériaux brutes pour les fabriquer.
Ainsi, en administrant de la tyrosine, acide aminé à partir de laquelle est produit nombre de neurotransmetteurs, dont l’adrénaline, la noradrénaline, la dopamine, la sérotonine, avec un précusseur de la dopamine, comme le mucuna pruriens, on obtient une amélioration colossale de l’hyperactivité, sans aucun des effets secondaires comme celles produites par des drogues qu’on donne administre (dont la Ritalin). Une véritable camisole chimique, on bloque leurs facultés d’apprentissage et leurs facultés cognitives. On les met sous une coercition chimique permanente.
Les glandes surrénales (épuisées), sur lesquels s’ancre le système nerveux autonome ne peut plus agir.
De plus, le système nerveux est en permanence agressé par la pollution (additifs, colorants alimentaires, etc.). Si en plus, la paroi intestinale est poreuse, ces polluants passent la barrière intestinale, venant agresser le système nerveux. Résultat: même au repos, l’enfant a un système nerveux continuellement harcelé par ces produits acides ou toxiques.
Le système nerveux est également en alerte. Il est assailli par des métaux lourds.
Enfin, les champs électromagnétiques qui nous environnent mettent le système nerveux en alerte, d’autant notamment avec un système nerveux plus faible.
L’enfant est pris en tenaille entre un système nerveux de plus en plus affaibli et un environment de plus en plus agressif. Il ne peut plus gérer la quantité de stimulus, d’information, d’agression que les adultes peuvent encore gérer.
SOLUTIONS
1. La tyrosine.
Précurseur de la sérotonine, de l’adrénaline, la noradrénaline, la dopamine,
la tirosine accompagnée d’un autre acide aminé, le 5 HTP (issue de la plante la griffonia), et de mucuna pruriens (contient de la l-dopa précusseur de la dopamine) améliore de manière flagrante l’état des enfants hyperactifs qui n’ont plus la capacité de produire de manière naturelle leurs propres neurotransmetteurs,
Il faut redonner à leurs surrénales la possibilité de produire eux-même ces neuro-transmetteurs.
Les surrénales produisent au centre des glandes de l’adrénaline, de la noradrénaline, de la dopamine. A l’extérieur, elles produisent des hormones stéroïdiennes comme le cortisol, la testostérone.
Ces glandes sont mises à mal par le rythme actuel des adultes et encore plus pour les enfants.
Les enfants sont souvent en déficit massif de sommeil. Réveillés le matin, agressés trop rapidement par la lumière avec un système nerveux déjà épuisé.
Le trouble de l’attention, c’est avant tout un épuisement auquel on ajoute une sollicitation environnementale ainsi qu’une pollution excessive.
La tyrosine se trouve, en autre, dans les avocats, bananes, les amandes, les noix du Brésil, les graines de citrouille, les graines de sésames. Ces acides aminés qui vont participer à la production de neuro-transmetteurs sont disponibles dans les végétaux à l’état brut et cru.
2. Réduire ou éliminer les sources des agressions.
Sur le plan alimentaire, les additifs, colorants, produits brutes non transformés, massivement basée sur des fruits et des légumes de préférence crus, idéalement bio, riches en nutriments, vitamines, anti-oxidants.
3. Eviter le gluten.
C’est un véritable neurotoxique majeur du corps humain. Chez nombre d’enfants, la simple suppression des produits à base de gluten, amène à une amélioration massive des symptômes.
De la même manière, la caséine qui se trouve dans le lait, alors que l’homme n’a plus de lactase (enzymes) à partir de 4 ans pour digérer le lactose. Cette caséine, viendra rentrer dans le sang pour agir comme un neuro-toxique majeur.
Les enfants nourris au sein développent beaucoup moins de troubles de comportement de type hyper-activité, que les enfants nourris avec du lait de vache.
Les générations précédents avaient la chance d’avoir un « crédit » qui leur permettait de faire face aux agressions. Ce crédit est entrain de se réduire pour les nouvelles générations, ne laissant pas grand chose aux enfants qui naissent aujourd’hui, tombant malade très très jeune.
4. Changer les rythmes de sur-sollicitation:
– visuel comme les écrans d’ordinateur, les jeux-vidéos
– sonores
– lumineuse (lumière allumées tard dans la soirée)
– rythme de vie
– rythme de travail
Au lieu de rajouter des produits à des produits et à son alimentation actuelle, il convient de réduire, voire supprimer des sources de polluants.