L’appendicectomie, amygdales, vésicule biliaire, etc.

Témoignage

[PD] (mentionné par ses initiales pour préserver l’anonymat) a subit successivement :

  • Une appendicectomie à l’âge de 9 ans,
  • L’ablation des amygdales,
  • L’ablation de la vésicule biliaire.

Pour toute explication, le corps médical rassure toujours les patients et leur parents en avançant qu’on peut se passer de ces organes.

Quand [PD] interroge le chirurgien sur une nécessaire adaptation de son régime alimentaire après l’ablation de la vésicule biliaire, il encaisse un « non, rien à changer dans votre alimentation, ne vous en faites pas… »
Au passage, [PD] en profite pour faire part de son étonnement sur l’hyperinsulinisme que pourrait provoquer la nourriture donnée au malade : confiture composée de sirop de fructose, pain blanc, biscotte à l’huile de palme hydrogéné. De quoi s’inquiéter sur l’état de son pancréas. Le chirurgien lui assène une très grosse baffe : « mais monsieur, pour votre pancréas, je suis là ! »
[PD] en reste sans voix. Mais à la réflexion, c’est bien lui qui est responsable de sa santé. Il lui a fallu longtemps pour qu’il  s’occupe de son corps avant que d’autres s’en chargent.

virus infected cells

L’histoire s’arrête là. Pour les curieux, il faut noter que les glandes et organes enlevés chez [PD] ont bien un rôle dans l’organisme :
– Immunitaire. Elles forment une première barrière contre les infections
– Nettoyage. Elles mobilisent des bactéries pour réduire l’acidité locale et globale

Les inflammations des amygdales et de l’appendice sont dues à une acidose que ces organes ne sont pas en mesure d’éliminer. Leur ablation rendent l’élimination du mucus difficile, obligeant le corps à transporter les toxines via la lymphe vers d’autres centres de traitements que sont les ganglions. Le sujet souffre également de la diminution de sa sensibilité au goût et aux odeurs.

Extrait du site allodocteur.fr

En fonction des amygdales qui sont touchées, les symptômes ne sont pas les mêmes : douleurs en avalant, fièvre, voix enrouée ou nasillarde, nez qui coule ou otite.

Cette inflammation des amygdales est appelée amygdalite et normalement, entre deux infections, elles retrouvent leur taille normale. Mais lorsque les infections sont très fréquentes, elles s’affaiblissent et deviennent elles-mêmes un foyer, un véritable réservoir de bactéries qui facilite l’infection. Elles restent alors hypertrophiées, déchargent régulièrement des bactéries et il faut alors les enlever.
L’inflammation des amygdales (amygdalite). Lorsque les infections sont très fréquentes, les amygdales s’affaiblissent et deviennent elles-mêmes un foyer, un véritable réservoir de bactéries qui facilite l’infection. Elles restent alors hypertrophiées, déchargent régulièrement des bactéries et il faut alors les enlever.

Ainsi, au lieu de traiter la cause des symptômes, les médecins tentent d’éliminer l’organe qui en produit, affaiblissant le corps. En effet, après ablation, la fonction de protection locale se fera désormais par quel palliatif ?

L’ablation c’est un affaiblissement du corps. Le corps déclenche des symptômes pour avertir d’un déséquilibre. Les rhumes, éternuements, écoulements de nez, maux de têtes, infections ne sont pas là pour la galerie. Mais le corps médical a décidé de se débarrasser de ces organes et donc des manifestations du système immunitaire. Il s’étonne ensuite de découvrir des années après des cancers, des maladies auto-immunes, des maladies de Parkinson, des scléroses en plaques, la maladie d’Alzaimer, etc. Ce ne sont que des prolongements de causes non prises en compte dans un environnement permanent et agressif.