La maladie a une source principale : la congestion liés à l’accumulation de toxines non traitées. Elle se manifeste par des symptômes qui sont des signes adressés par le corps. Traiter uniquement ces symptômes ou les ignorer ne fera que reporter le problème et l’aggraver. Le corps se manifestera à nouveau avec des symptômes autrement plus pénalisant que des éternuements, ne laissant pas d’autre choix que d’y apporter une solution. La solution n’est pas extérieure au corps mais intérieure : éliminer la congestion due à l’excès de toxines issue d’une alimentation acidifiante. Permettre au corps d’éliminer cet excédant de toxines.
| Le corps est gouverné par le principe d’homéostasie: Tout système laissé à lui-même, en l’absence de perturbations extérieures, revient spontanément à l’état d’équilibre au travers d’une série de réactions: les processus régulateurs. Le corps tente toujours de revenir à son état d’équilibre, son état de pleine santé. Ceci s’applique au corps comme aux éléments isolés. |
Processus régulateur: ce sont les symptômes. Ils sont un passage obligé, une des actions pour revenir à l’état d’équilibre mais également un indicateur des écarts ou dysfonctionnement. Une cellule a besoin de s’alimenter, de respirer et d’éliminer ses déchets. Quand ces 3 fonctions se réalisent, la cellule est en bonne santé. Si l’ensemble des cellules d’un organe fonctionne bien, l’organe réalise ses fonctions correctement.
Les déchets
Les déchets doivent être éliminés localement au niveau de la cellule par la lymphe interstitielle et globalement au niveau du corps à travers la lymphe circulante. La lymphe transporte donc les déchets. Ces déchets concernent à la fois les toxines apportées par l’extérieur mais également ceux produits par la cellule. Les déchets sont apportés aux ganglions remplis de bactéries, de champignons et de levures. Des agents indispensables à la santé pour le recyclage des déchets. Les ganglions ont pour fonction de réduire l’acidité ou toxicité des déchets. Les déchets passent de ganglion en ganglion lymphatique et voit leur toxicité se réduire jusqu’à être éliminés par les émonctoires: l’urine et les selles. Ce travail ne peut se faire qu’avec un débit compatible avec les capacités des ganglions à les traiter.
En cas d’excès, peuvent apparaître des cystites ou des hémorroïdes : une présence importante d’acidité dans les urines et les selles. L’acidité non éliminée par les ganglions.
Inflammations
Le phénomène de multiplication des agents de nettoyage s’appelle l’inflammation (au niveau d’un ganglion). Par exemple, un gonflement des amygdales ou des aisselles.
L’inflammation correspondant à la dilatation des tissus qui facilitent de meilleurs échanges. Plus de globules blanc ou leucocytes arrivant dans la zone de l’inflammation. L’inflammation augmente le métabolisme: la vitesse des échanges dans l’organisme (migration et transition). L’inflammation est une réaction adaptative dans l’organisme pour répondre à une situation d’urgence. La fièvre est un exemple de manifestation de l’inflammation.
Même si l’inflammation est localisée, elle est révélatrice d’une congestion globale du corps et non pas localisée dans la zone du corps ou l’inflammation se manifeste. La zone de l’inflammation n’a que peu d’importance. Elle peut s’expliquer par une cause génétique, une alimentation particulière, un historique d’alimentation, etc. Ce qui importe c’est le message envoyé par le corps:
le système globale est saturé.
Cette inflammation peut être :
- ignorée
- supprimée avec des anti-inflammatoires. Cela réduit à néant le surcroit d’activité de nettoyage que l’inflammation devait provoquer. Les déchets non nettoyés vont s’accumuler dans le système. L’inflammation d’un ganglion est révélateur de sa saturation mais également des autres ganglions arrivés à la limite de leur capacité de transformation des déchets.
- assumée en réduisant les toxines arrivant par l’alimentation, voire annuler cette arrivée
Les nutriments arrivent par le sang après avoir passé la barrière intestinale. La cellule sera nourrie à travers le sang si rien n’entrave cette nourriture.
Or, à l’étape précédente de la digestion, l’intestin grêle, chargé de trier, filtrer et accepter/rejeter, peut être perturbé par l’absorption de farine/riz/pain qui tapissent (comme une colle) les intestins. Cette colle sera éliminée par des auxiliaires: levures, champignons (dont le candida albican) qui vont s’en nourrir. Problème : ces levures et champignons rejettent de l’acide urique et de l’acide sulfurique. Ces acides agressent la paroi de l’intestin (irritations et inflammations, d’où les maladies de Crohn). C’est l’hyperperméabilité intestinale : elle laisse passer dans le sang des produits toxiques qui vont augmenter son acidité. Or l’acidité du sang, mesuré en pH, doit garder une valeur près proche de 7,3 ou 7,4.
C’est par cette perméabilité bactérienne que les facteurs de croissance du lait passent dans le corps alors que ces facteurs de croissance étaient destinés uniquement au veau.
Trois processus régulateurs (ou processus adaptatifs) dans le sang ont pour rôle de garder cet équilibre de l’acidité à 7,3 – 7,4 dans le sang :
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- L’oedème. C’est la rétention de l’eau. Une hormone, l’aldostérone, produite par les glandes surrénales, bloque l’élimination rénale pour augmenter la quantité de fluide. Cette augmentation de l’eau diminue alors la concentration (acidité), les produits toxiques deviennent moins agressifs. Le corps est souvent gonflé d’eau. Inversement l’arrêt de l’alimentation provoque en premier le relâchement de ces poches d’eau (oedèmes) provoquant des urines nombreuses. Suivent alors d’autres processus d’élimination.
- La neutralisation par l’association des acides avec des minéraux (dont le calcium) qui participent à la construction des tissus conjonctifs, tissus artériels et tissus veineux pour produire une base neutre. La neutralisation va pomper dans les tissus les minéraux pour réaliser cette neutralisation et produire une base neutre. En petite quantité, l’évacuation de ce produit neutre se passe, en grande quantité, il y a accumulation au niveau des os (sels calcique) mais également dans les reins, (produisant des calculs rénaux). Ces réactions constituent un « pompage » très important de minéraux présents dans les tissus et dans les eaux. Trois possibilités:
- Les minéraux sont remplacés grâce à une alimentation à base de produits alcanisants (fruits & légumes). Le cas idéal pour la compensation acide/alcalin.
- les minéraux ne sont pas remplacés : les tissus s’affaiblissent, s’amoindrissent, s’affinent. C’est l’anévrisme avec le risque de rupture mortelle au niveau du cerveau, ce dernier, n’étant pas alimenté par le sang qui s’écoule à l’extérieur. Cet écoulement peut être néanmoins être réduit par un autre mécanisme adaptatif supplémentaire : la coagulation sanguine: l’épaississement empêche le sang de passer à travers les zones de rupture, le temps que cela puisse se réparer. Mais là encore, la coagulation peut être un risque de formation de caillot de sang (embolie)
- Les parois sanguines sont formées de cellules alimentées par du sang et baignées dans la lymphe qui récupère les déchets. L’excès de déchet au voisinage des artères provoque un état grandissant de congestion dans les parois des artères. L’état de congestion atteindra un niveau qui empêchera de faire rentrer les déchets dans la lymphe. Les déchets qui doivent être entourés de gras pour éviter leur effet, vont s’accumuler dans les vaisseaux sanguins, le gras étant produit par le foie: le cholestérol. Le foie produit donc du cholestérol pour rendre moins toxiques les déchets dans les vaisseaux sanguins. Mais le cholestérol contribue à réduire le diamètre des artères, voire les boucher et entrave l’écoulement du sang. Prendre un traitement anti-cholestérol sans agir sur la cause racine de la congestion, aggrave le problème car cela réduit et élimine l’agent qui apporte le gras pour le protéger contre l’acidité.
- La création de graisse pour le stockage temporaire des toxines non traitées. Le jeûne, au delà de 3 jours, consommera ces graisses et éliminera les toxines qu’elles contiennent.
Ces trois possibilités de régulation peuvent co-exister. Selon les morphotypes, on a :
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- des personnes maigres déminéralisées. La personne a peu stocké les déchets toxiques dans la lymphe avec du gras. La plupart des acides sont allé pomper les minéraux dans les os pour se neutraliser. Ces personnes sont souvent instables psychologiquement. Les minéraux sont indispensables dans le systèmes nerveux, le manque de minéraux provoque des dépressions, paniques, phobies diverses, etc.
- des personnes qui stockent dans les matières grasses. La personne est peu déminéralisée mais elle fabrique une grande masse de graisse et des oedèmes.
Au début de la vie, les manifestations des inflammations sont impressionnantes: fièvres, toux, crachats, etc. Or, dans notre société, ces manifestations sont connotés négativement. On ne les tolère pas. Or pour expulser des toxines, il faut posséder beaucoup d’énergie nerveuse. les enfants ont un capital important d’énergie nerveuse, en contre partie ils ont besoin de leur quota de sommeil pour reconstituer cette énergie nerveuse. La capacité du système nerveux diminuera avec le temps. Les déchets commencent à s’accumuler. Conséquences, tous les liquides qui entourent la cellule se charge de toxines. La cellule est de moins en moins alimentée, conduisant à des maladies chroniques des organes : foie, coeur, pancréas, vessie, etc. apparaissant à la moitié de vie et qui pointe le bout de leur nez sans crier gare car il n’y a plus d’énergie nerveuse pour des manifestations comme des grosses fièvres, des grandes sortie d’acides. C’est le stade où les toxines entourent les cellules sur l’ensemble d’un organe.
Enfin arrive le stade ultime où les cellules n’arrivent même pas à évacuer leurs propres déchets. L’intoxication atteint l’intérieur de la cellule. Deux conséquences :
- la cellule se réplique en permanence avec des aberrations internes (manque de matériaux). C’est le développement tumoral. L’apparition des excroissances de cellules dans le corps.
- Maladie auto-immunes. le système immunitaire reconnait mal les cellules et les détruit. Ce n’est pas le système immunitaire qui est en cause mais les cellules qui ont changé.
Enfin, n’oublions pas que les ondes électromagnétiques (wifi, 4G, etc.) agissent également sur le système nerveux. Sans compter le stress et les émotions …
Les maladies
