Ce site n’est pas un site médical, il a pour seule vocation à sensibiliser les visiteurs sur l’importance à attacher à leur santé. Il recueille à la fois un savoir scientifique, technique et des expériences humaines pour être partagés.
Seuls les auteurs des propos tenus dans leur ouvrage respectif en sont responsables. Les références des ouvrages sont accessibles à la page « bibliographie » en bas de page.
N’attendez donc pas de ce site un moyen ou des raisons pour blâmer une corporation, les médecins, l’ordre des médecins, les nutritionnistes, les pharmaciens, les laboratoires pharmaceutiques ou bien les entités régaliennes comme l’Agence nationale de sécurité sanitaire
de l’alimentation, de l’environnement et du travail, l’agence européenne de sécurité alimentaire, l’Agence européenne des médicaments, etc.
Votre vérité, votre responsabilité
Pour blâmer, critiquer, il faudrait être détenteur de la vérité. Mais chacun navigue dans la vie comme il peut ,avec sa vérité personnelle, relative et changeante. Le responsable de ces maux n’est pas forcément celui qu’on croit…
Prenons le cas du médicament mediator mis en cause pour ses effets sur des milliers de diabétiques et non diabétiques. Les patients se plaignent des médecins, de l’administration et des labos. Mais revenons un peu en arrière. Avant de recevoir une prescription de mediator, le patient était préalablement diabétique. Est-ce la faute de laboratoire Servier ? En combien de temps devient-on diabétique et sous quelles conditions de nutrition ? Comment le patient est-il arrivé là ?
Reprenons depuis le début : avant d’être diabétique, la personne est venue au monde. Elle a été élevée par ses parents qui lui ont transmis, non seulement une connaissance mais également une pratique alimentaire. Imaginez, juste à ce stade, les conséquences des farines pour les nourrissons en terme d’hyperinsulinisme. Gavés plusieurs fois par jour d’une farine riche en gluten et de lait de vache avec des facteurs de croissance réservés au veau qui prend 300 Kg sur une année. La farine provoque :
- une hyper-glycémie
- une hypersinsulinimie
- la dégradation du gluten fixé sur l’intestin grêle par la dégradation par des bactéries, champignons et levure, de l’acide chlorhydrique et de l’acide urique
- une perméabilité intestinale, laissant passer des protéines, des facteurs de croissances
Le lait provoque :
- une baisse de fixation du calcium (oui, vous avez bien lu, le lait apporte du calcium qui ne se fixe pas !). Cette assertion est compatible avec les propos des industriels des produits laitiers. Ces derniers saturent le discours « nutritionnel » sur les apports de calcium. Ceci est vrai mais, le calcium ne se fixe pas. La publicité n’est pas un mensonge, mais seulement la moitié de la vérité qui arrange l’annonceur. Qu’en est-il de la seconde vérité qui doit être construite consciemment par le client ?
- le développement de tumeurs
- L’intolérance au lactose
- etc. La liste est trop longue, lisez des articles sur le lait, et mesurez ce qu’il fait sur vous.
L’intolérance du lait provoque:
- Ballonnement
- Diarrhée
- Douleurs abdominales
- Vomissements
- Crampes abdominales
- Constipation
Les symptômes d’une allergie aux protéines du lait de vache sont:
- Problèmes digestifs (50 à 60% des cas)
- Problèmes cutanés (10 à 39% des cas)
- Problèmes respiratoires (20 à 30 % des cas)
- Choc anaphylactique (9% des cas)
Diabète et produits laitiers:
Une étude française décrite dans cet article, met en évidence la consommation de produits animaux, dont les produits laitiers dans l’émergence du diabète de type 2
« Ces épidémiologistes ont notamment montré que les 25% de femmes qui avaient l’alimentation la plus importante en viande, fromage et en produits laitiers avaient un risque augmenté de 56% de développer un diabète par rapport aux 25% de participantes qui avaient eu le régime alimentaire le plus alcalinisant »
Bon on arrête là. On pourrait en rédiger des pages entières et mettre en cause les parents sur une possible mise en danger de la vie de leur nourrisson (voir l’article sur le diabète et l’insuline). Pourtant, par ignorance, ils ne font que reproduire ce que la société leur propose comme standard alimentaire dit moderne, donc progressiste.
L’enfant grandit et le voilà adolescent. Il partage les instants de socialisation à l’école, dans son milieu géographique et numérique (réseaux sociaux), etc.
Difficile pour cet enfant d’afficher une posture décalée ou originale dans son comportement alimentaire sans craindre le jugement du groupe social auquel il appartient. C’est pourtant son choix. Et ce choix contribue maintenant à façonner son état de santé, dont le système immunitaire qui s’affaiblit.
Arrivé au stade de l’adulte, la personne n’a plus de raison d’adopter d’autres habitudes que celles acquises et poursuivies pendant des années par réflexe ou goûts acquis. D’autant que le corps, en moyenne, arrive toujours à réguler et « s’adapter » (selon les personnes) sans provoquer une maladie sur un organe en particulier. Jusqu’ici, la personne n’a pas de raison apparente de s’inquiéter. Certes, la personne continuera de vivre avec quelques inconforts : allergies, candida, congestions à répétition, rhinites, laryngites, maux de têtes, etc. Ils seront traités par des médicaments qui agiront seulement sur les symptômes.
Plus tard, entre la quarantaine et la cinquantaine, après un passage à l’hôpital, la personne se pose des questions (ou non …). elle se renseigne sur le net, dans les livres, les documentaires, souvent contradictoires. Sans compter les publicités à la TV.
Ne sommes nous pas influencés par les blouses blanches qui défilent et nous assènent leurs vérités sur le petit écran? Qu’il s’agisse de médicament, de dentifrice; de lave-linge, de lessive, de produit pharmaceutique, etc. Ces blouses blanches indiquent à nos cerveaux que les assertions proférées reposent sur un savoir et des preuves scientifiques.
Ces fameuses blouses blanches nous vendent donc du bien-être dans le cadre d’une logique économique que l’on pense compatible avec notre bien-être.
En réalité, ce message n’est pas explicite mais implicite ou plutôt reconstitué par notre cerveau en conformité avec notre culture, notre expérience, notre savoir, bref nos préjugés. On passe donc notre temps à reconstituer notre vision du monde à travers un prisme constant lié à notre passé que le subconscient nous ressert. Ce qui fait dire aux orientaux que nous vivons en permanence dans un monde d’illusion.
On se rend chez le médecin ou à l’hôpital comme on va chez le garagiste, en laissant notre santé entre les mains du corps médical comme on laisserait les clés de notre voiture pour sa réparation. Mais entre l’instant du dépôt et le moment du retrait, on ne cherche pas trop à comprendre ce qui s’est passé pendant la réparation et encore moins l’origine de la panne. On se déresponsabilise.
Mais quand un scandale sanitaire surgit, on exige que les entités régaliennes poursuivent les méchants laboratoires, les méchants agriculteurs, les méchants semenciers, les méchants producteurs de pesticides. Bref, on souhaite que les acteurs s’entretuent pour enfin arriver à une situation qui nous rende « justice ».
N’avez-vous pas remarqué une constante dans ce parcours et dans notre comportement ? C’est la faute à ceci, à cela, à un tel, et à un autre. Bref c’est à la faute à tout le monde, sauf à nous.
Irène Frachon a une phrase terrible sur France Inter:
« Il y a un peu une passivité ambiante, une démission. Les gens attendent beaucoup qu’on règle les problèmes pour eux ».
« Aaah … mais je ne suis pas expert, c’est l’autre l’expert, c’est donc l’autre le responsable ».
Avec cette approche, ne vous attendez pas à des miracles. Ils n’arriveront pas pour vous sauver. Occupez-vous de votre corps avant qu’un autre ne s’en charge.
En réalité, il n’y a pas de victimes, pas de coupables, pas d’erreurs, pas de fautes, mais seulement… des choix. La bonne nouvelle est qu’il y a toujours et encore de nouvelles opportunités de réaliser de nouveaux choix pour changer.
Nous avons un pouvoir
Pourtant nous avons un pouvoir qu’on ne mobilise jamais:
- Vous ne supportez plus les pesticides, alors arrêter de les manger.
- Vous ne supportez plus les maladies, alors arrêtez d’agresser votre système immunitaire.
- Vous ne vous supportez plus du tout, mettez vous au jeûn pendant quelques jours ou semaines.
Comment faire, Que faire ?
Vous avez appris à lire, bonne nouvelle ! Vous avez été éduqués dans un esprit critique, bonne nouvelle. Alors bougez vos neurones et commencez à collecter des données, commencez à réfléchir et à corréler ces données. Puis assumez enfin la responsabilité de votre situation pour la changer si vous n’en êtes pas satisfait. In fine, expérimentez vous-même ! Ce site tente justement de vous y aider en collectant des informations qui remettent en question (souvent par les médecins eux-mêmes) les croyances.
Irène Frachon : « Non au poison du « tous pourris », oui aux vertus de l’esprit critique ! »
Laissez donc de côté les émissions de télé réalité et profitez de ce temps gagné sur cette vie par procuration pour vous éduquer.
Attendre du monde entier qu’il change selon ses souhaits, c’est aller vers l’échec car on ne sera jamais satisfait du résultat. Car être satisfait du résultat extérieur bâti par les autres, c’est se passer dans le futur, de prétextes pour rejeter (de nouveaux) ses échecs et persévérer dans l’exigence de changement permanent et ad infinitum des autres.
Il ne sert donc à rien de combattre pour combattre. Irène Fachon avaient déjà gagné sa « bataille » en informant et alertant la population. Les labo ont horreur de la lumière dirigée vers leurs activités douteuses. Les déboires rencontrés sur le plan des procédures civiles sont certes regrettables pour les patients, mais il aurait mieux valu mettre en œuvre un « traitement » qui aurait accélérer la régénération du système immunitaire pour recouvrer la pleine santé au lieu de courir après des indemnités. Entre la santé et les indemnités, je préfère la santé.
What you resist persists
(*) durée des études, difficultés de l’internat, amplitude horaire, compétition, expertise acquise à l’arrache, etc.